« tu trouves mille remèdes à l’ennui et une infinité de choses dignes d’occuper ton esprit durant l’éternité : l’odeur moisissante des minutes d’avant trois siècles, le sens secret des hiéroglyphes en chiures de mouches ; l’arc triomphal de ce trou de souris ; l’effilochement de la tapisserie où se prélasse ton dos arrondi et osseux ; le bruit rongeur de tes talons sur le marbre ; le son de ton éternûment poudreux…
l’âme, enfin, de toute cette vieille poussière de coin de salle oublié des plumeaux ».
Milosz